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Litt. Africaine
4 décembre 2020

JULFRAN DONGO SUR LA COVID 19 AU CONGO BRAZZAVILLE

UN HOMME AUX MULTIPLES FACETTES

   

 

 CITATION EXTRAIT DE LA CONVERSATION:

 

" Parfois il faut arrêter l’amalgame entre ce qui existe et ce qui ne l’est pas, le non être est inexistentiel. Tout ce qui existe est visible et sensationnel, la tromperie est dans l’écoute."

 

              À quoi peut bien ressembler Julfran Dongo; un jeune professeur d’anglais et auteur africain encore très peu notoire à l’échel mondial ? Une question que se posent sans doute quelques personnes curieuses à laquelle nous tenterons de répondre.

Un écrivain méconnu dans son Etat, sous-estimé, jugé et très mal critiqué par son entourage en raison de sa personnalité, sa corpulence et sa mysophilie quelquefois récalcitrant, qui à mon humble avis pour quelqu’un d’une telle renommé devrait être charismatique, rare, difficile à rencontrer sans passer par un protocole de sécurité. Hélas ! Il n’est pas ce genre d’homme que l’on peut qualifier d’orgueilleux et d’arrogant. Julfran Dongo est un homme pas comme les autres, un congolais stylé par un langage puriste et classique qui qu’on le veule ou pas, témoigne son intellectualité. 

 

JULFRAN[1]

 

Dans le coulisse, alors que nous préparons le matériel pour recueillir quelques points de vues sur l’état d’urgence sanitaire annoncé par le gouvernement du Congo Brazzaville afin de mieux sécuriser la population contre la COVID-19 dans la zone sud de Brazzaville ; un avis c’est métamorphosé en un entretien entre celui que les jeunes anglocentristes bilingues et parfois polyglottes appellent par : Jay ZO, MasterMind ou encore La Source, couramment appelé Disney dont le vrai nom est Julfran Dongo Dufrise Deferiol a pu nous faire part de son avis par une confidence depuis son domicile à Nganga Lingolo ( C-Jays) qui s’avère être un lieu de travail pour ses activités littéraires, mais aussi un sanctuaire pour ses fidèles apprenants connu sous le nom de Little Jays. Bref,

Interrogé par notre équipe sur la question de l’expansion du corona virus au CONGO, Julfran Dongo n’a pas su retenir sa langue:

Sincèrement, l’honnêteté est une vertu rare. La franchise l’est encore plus. Je crois que la mystification des faits est un délit gravissime aux yeux de la justice. Malheureusement, il n’existe nulle part cette justice, peut-être devrais-je en inventer pour satisfaire nos autorités, hélas ! Je ne suis point un inventeur conceptuel. En fait, parfois il faut arrêter l’amalgame entre ce qui existe et ce qui ne l’est pas ; le non être est inexistentiel. Evidemment, tout ce qui existe est visible et sensationnel, la tromperie est dans l’écoute. Je ne suis pas entrain de me méprendre en vous affirmant l’inexistentialisme de la pandémie actuelle dans le monde. Je serai fou de vous le dire. Néanmoins, il y a une falsification des faits qui s’avère être celle de  la vérité, disant plutôt une déformation de faits qui est entrain d’engendrer une confusion dans la compréhensivité de l’homme noire qui depuis la génésse croit tout ce qui se dit sans se remettre en question.

             En outre, il n’y a aucune probabilité constante qui peut de façon chrononologique attester la verracité sur le nombre de contaminé de la COVID-19 moins encore des morts dans notre pays. Faut-il dés lors prendre pour l'ultime vérité,  les propres du gourvenement sur l’expansion de ladite pandemie lorsqu'ils affirment avec véhémence que : Le nombre exacte des morts est incalculable ? Assurement pas, tout est à vérifier me semble t-il. Puisque en tant que citoyen, j'ai aussi le droit de m'autoquestionner sur ce qui me paraît questionnable avant de questionner autrui sur la question qui nous concerne tous. Il est donc évident que je sois perplexe sur certaines affirmations. D’ailleurs vous et moi savons mieux sans doute par rapport à certaines personnes que le germe coronavirus ; est une farce s’il faut parler en terme de contamination au Congo. Puisque NOUS, la population Congolaise habitant socialement de façon confinée depuis la gènèse, nous ne constactons ni ne remarquant le moindre indice chez un quelconque malade, alors que nous en connaissons parfaitement les symptômes.

                 Par ailleurs, le concept même du CONFINEMENT, doit être ré-étudier, puisqu’il ne renvoit pas à l’éloinement ou à la mise en écart de façon distanciel. Mais plutôt à l’entassement et à l’assemblement des individus sans vérification de l’état de santé de chaque individu au préalable. De ce fait, le risque de contamination devrait être  fatal si la maladie y était déjà. Malheureusement, les personnes mouront de toute autres maladies, sont cautionées à la COVID. Ce qui fait bonne affaire pour nos gouvernants. De nombreuses familles disent avoir été sollicitées pour déclarer leur défunt mort du coronavirus en échange de quelque billet de banque. Les faits ont été vérifié et approuvé parait-il. Nous autre observatuers avons la bouche cousu et les oreilles en alerte pour mieux entendre ce qui se dit partout. vrai ou faux, à vous de voir, on est en Afrique.

          

 

 

 

FABRICE BAWILA                                                                                                                                                                      

Blogger et Chroniqueur 

 

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